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Carte de visite n° 13 : « Bourdelle intime »

http://www.bourdelle.paris.fr/fr

IMG_20131204_172526Visite-conférence pour individuel du mercredi 04 décembre 2013, d’une durée d’1h15, présentée par Séverine

 Parmi les choix de visites de musée que j’ai prévu d’effectuer, il y a l’incontournable musée Bourdelle à Paris. Le nom du sculpteur et artiste peintre français Antoine Bourdelle (1861-1929) revient assez souvent dans les thématiques de visites que j’effectue. Soit pour ses collaborations nombreuses, soit pour la relation avec les contemporains de son époque. Il s’est formé à l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-arts avec pour Maître Alexandre Falguière, il a travaillé pour Auguste Rodin, et il a aussi enseigné à des élèves comme par exemple Matisse ou encore Maillol, etc.

J’affectionne de plus en plus le cercle des artistes appartenant à la période du XIXème et XXème siècle avec comme point de départ les frères Perret. Et, depuis ma visite à la Cité de l’architecture et du patrimoine portant sur « toucher et écouter l’architecture moderne », l’élément déclencheur et révélateur de mon engouement pour cette période de l’Histoire des arts. J’ai voulu approfondir la visite pour aller découvrir l’Eglise Notre-Dame du Raincy, le musée Maurice Denis ou encore le musée des arts et métiers, il était grand temps que je vienne au musée installé dans le même arrondissement que mon domicile afin de prendre le temps de découvrir l’univers de cet artiste omniprésent.

En consultant la programmation et le calendrier des visites, j’ai opté pour cette date car il y a à la fois une visite-conférence des collections permanentes du musée, à la fois une visite de l’exposition temporaire appelée « Bourdelle intime ». Cette combinaison de programmation me convient parfaitement.

J’ai appelé pour prendre une réservation éventuelle et informer que je suis accompagnée de mon chien-guide Arsène. Il était nécessaire de vérifier les informations pratiques pour venir en transport en commun sachant que les possibilités sont multiples.

Pour éviter de me perdre ou encore arriver en retard, j’ai préférer téléphoner avant de venir… En même temps, l’adresse doit être connue par les habitants du quartier car la rue porte le nom de l’artiste.

Finalement, après être d’abord descendue à la station Montparnasse bienvenue et tentée malgré moi, de suivre l’itinéraire conseillé, je ne parvenais pas à m’y retrouver alors que le temps défilait. Vue que je tournais un peu en rond dans les longs couloirs de la station, j’ai repris le métro et suis descendue à la station Falguière et tout est rentré dans l’ordre !

Sortie du métro, j’ai demandé à plusieurs reprises mon chemin et, c’est sans trop de difficultés que je suis arrivée sur place. Le temps d’acheter les billets d’accès au musée et à l’exposition, de patienter quelques minutes avant de démarrer la visite-conférence présentée ce jour par Séverine.

Nous voici à présent sous le patio qui fait le lien entre l’accueil du musée ouvert depuis 1949 et le jardin sur la rue Bourdelle où sont installées des sculptures monumentales en bronze, avec notamment Héraclès archer, que nous avons pris le temps de toucher avant de poursuivre la visite.

Il y a des bancs disposés ici et là, installés dans un cadre chargé d’histoire pour contempler tout ce qui nous entoure. Profiter du calme et réaliser un instant que nous sommes dans le jardin d’Antoine Bourdelle et que face à moi, il y a la maison avec les appartements où il a vécu, et là nous sommes en direction de son atelier où il a travaillé jusqu’à la fin de sa vie.

Nous avançons quelques pas et en ouvrant la porte, nous arrivons dans l’atelier d’Antoine Bourdelle, à l’intérieur, sont disposées sur des socles, des sculptures en bois, bronze, marbre parmi lesquelles, une maquette de Héraclès archer représentant la sculpture monumentale présente dans le jardin que nous venons de traverser.

Il fait plutôt sombre dans cette pièce, en marchant, on entend bien que le parquet sous nos pieds est abîmé et avec la description de la guide, cela permet de constater également que les boiseries sont d’origines. Surtout, on remarque directement que c’est un endroit isolé du bruit extérieur avec une acoustique assez surprenante. De grandes fenêtres sur l’un des quatre côtés éclairent naturellement la pièce complétées par des discrètes lumières électriques artificielles.

Nous avons explorés certaines sculptures du bout des doigts avant de traverser dans la pièce d’à côté qui nous amène dans la salle pédagogique consacrée aux moulages qui expliquent les différentes étapes de fabrications. Nous nous sommes attardées sur un moulage démontable mis à la disposition du public pour tenter d’appréhender de manière concrète le travail du sculpteur. Activité ludique et conviviale qui m’a plu d’expérimenter.

Pour se rendre dans les espaces d’expositions, nous avons ouvert une autre porte donnant sur un jardin intérieur plus étroit que nous devons traverser. Un nouvel arrêt auprès d’une sculpture monumentale initialement créée pour être exposée sur un bord de mer en France afin de répondre à la statue de la liberté installée de l’autre côté de l’atlantique.

Nous voici à présent dans une salle qui présente des œuvres dont les premières réalisations datent de 1888 de son modèle en qui il se retrouve : il s’agit du compositeur Beethoven. Il le représente avec de la pureté et de la rigueur dans les formes. Nous avons touchés une sculpture et on remarque un petit visage et une grande chevelure avec un volume assez frappant de cheveux en bataille et un visage lisse. Dorès déjà, Antoine Bourdelle est considéré comme l’un des précurseurs de la sculpture monumentale du XXème siècle.

Nous arrivons à présent dans la partie qui est une extension du musée, rajoutée à l’initiative de la fille du sculpteur. Sont exposés entre autre des bas-reliefs impressionnants avec également l’œuvre qui est une main appelée « … » que j’ai particulièrement apprécié.

Aussi, il a réalisé Le Monument à Mickiewicz que l’on peut voir encore aujourd’hui en se rendant sur La Place de l’Alma à Paris. Alors que beaucoup de fleurs régulièrement sont déposées en hommage au tragique évènement de la Princesse Diana à ce même emplacement, j’ai appris que cette sculpture monumentale a été réalisée dans le but de rappeler l’amitié franco-polonaise.

Nous terminons la visite dans la partie dédiée à l’exposition temporaire appelée « Bourdelle intime ». Sont exposés des photographies, des sculptures, des aquarelles abordant la vie et l’entourage du sculpteur. Notamment, ses deux femmes, ses enfants, mais aussi, ses oncles et tantes ou encore amis.

Cette salle est lumineuse, pas trop chargé en montrant tout de même une grande partie de sa vie sous différents aspects. On imagine assez bien son univers grâce aux choix des œuvres présentent dans cette exposition temporaires qui lui est consacrée.

Pour clore cette visite-conférence vraiment passionnante, nous avons eu la possibilité de nous rendre au-dessus du patio. Là où sont alignées de nombreuses sculptures en bronze de personnalités appartenant de près ou de loin à l’univers artistique du sculpteur.

Il y a notamment deux bustes en bronze des frères et acteurs  Coquelin, , œuvres réalisées entre 1891 et 1893 pour La Comédie française On retrouve aussi un buste en bronze de Gustave Perret et aussi les fresques servant de décoration intérieure réalisées entre 1910 et 1914 que l’ont peut voir au Théâtre des Champs-Elysées qui témoignent de la collaboration de Bourdelle avec l’architecte Perret. Rappelons aussi qu’Antoine Bourdelle a réalisé une Pietà en bas-relief au dessus de la porte d’entrée de l’Eglise Notre-Dame du Raincy réalisée dans les années 1920 et inaugurée en 1999.

C’est vraiment impressionnant de marcher sur le patio et de regarder le jardin, la maison, le musée et l’atelier depuis le patio. En ayant la possibilité de toucher cette fresque absolument remarquable, visible depuis la rue. Vue du dessus, c’est l’endroit incontournable du musée à découvrir pour mesurer à quel point Antoine Bourdelle a marqué l’Histoire et son époque.

Pour la visite conférence des collections permanentes et de l’exposition « Bourdelle intime » rendez-vous à 16h30 au musée Bourdelle



Carte de visite n° 12 : « Les trésors du musée »

IMage Julie et Arsène devant l'entrée du Musée des ARts et MétiersVisite pour individuel, accompagnée par un médiateur scientifique, d’une durée de 2h présentée par Maximilien le vendredi 22 novembre 2013

J’ai assisté à différents évènements programmés dans les deux cas, au Musée des arts et métiers à Paris, le mois dernier dans le cadre de la Fête de la science du 9 au 13 octobre ayant pour thème scientifique en 2013 : de l’infiniment grand à l’infiniment petit. Notamment, à une journée d’étude « Sciences en images » et, à une visite flash grand public portant sur l’ABC de la vapeur.

C’est à cette occasion que j’ai noté qu’il serait intéressant de revenir assister à une visite-guidée pour en apprendre d’avantage sur ce lieu imposant qui porte le même nom que la station de métro à laquelle je suis descendue pour accéder à l’entrée principale du Centre National des Arts et Métiers.

Aussi, j’ai consulté le site internet de l’établissement agréable à explorer, qui présente une généreuse programmation de visites, ce qui me laisse une grande liberté dans la gestion de mon planning de visites tant les possibilités sont multiples.

Pour mieux appréhender les espaces et les œuvres du Musée des arts et métiers, j’ai choisi de suivre la visite « Les trésors du musée » animée par un médiateur scientifique qui est une présentation générale des différents domaines de la science et des techniques répartis sur deux niveaux, disposées par domaine dans l’ordre chronologique,  avant de suivre de nouvelles visites plus spécifiques.

Me voici sur place en compagnie de mon chien-guide Arsène. Avant toute chose, j’ai retiré mon billet et attendu quelques minutes dans le hall avant que le guide demande au petit groupe constitué d’individuel de se diriger vers les ascenseurs dans lequel il faisait froid comparativement au reste des espaces du musée.

L’introduction de la visite se déroule à mi-chemin entre l’entrée de la salle des instruments scientifiques et la sortie de l’ascenseur. Cet espace est légèrement bruyant car en même temps que l’on distinguait clairement la voix de notre guide, on pouvait entendre une bande sonore diffuser le son d’extraits parlés sur une installation vidéo.

Hormis ce petit détail qui ne durera à peine que quelques minutes, nous abordons la création du CNAM et noterons qu’avant d’être un musée, c’était un ancien édifice religieux appelé prieuré d’où le fait qu’il ait une église au sein de l’édifice ouvert au public en 1794 et fermé pour travaux pendant quelques temps, dans les années 1990.

Au fur et à mesure que nous nous déplacerons de salles en salles, nous balayerons les 7 domaines qui composent les espaces de ce musée. Tout en s’arrêtant devant certaines vitrines avec les objets que le guide va commenter. Il s’étendra sur les explications et leurs importances dans l’Histoire des techniques et de la science et leurs inventeurs souvent de géni.

Je ne vous parlerai pas de l’ensemble des thèmes présents au Musée des arts et Métiers mais plutôt de ceux qui ont attiré mon attention. Bien que nous les évoquerons tous mais il est impossible en 1h30, durée initiale de la visite, de pouvoir s’attarder sur chaque domaine même si nous avons traversé : les instruments scientifiques, les matériaux, la construction, l’énergie, la communication, les transports, la mécanique.

Nous voici à présent dans la salle des instruments scientifiques et détaillerons entre autre,  les origines de l’invention de la calculatrice par Blaise Pascale ou encore sur l’importance de la création du laboratoire de Lavoisier, avec une démonstration à l’appui qui rend le propos vivant et encore plus pertinent. Les manipulations ce feront toujours avec le port des précieux gants cars les éléments sont d’époque.

J’avais en tête de venir à la visite axée sur le domaine de la construction car j’ai une certaine fascination pour les ponts. Et c’est en passant rapidement  dans cette partie,  que nous avons abordé La Statue de la Liberté du sculpteur français Auguste Bartholdi. Et aussi le théâtre des Champs-Elysées des frères Perret, etc.….

Puis nous arrivons au domaine de l’Energie et nous parlons de l’invention de la pile électrique par le physicien italien Alessandro Giuseppe Antonio Anastasio Volta et irons jusqu’à la salle du domaine des Transport. Encore un arrêt pour parler de l’invention de l’ingénieur français Clément Ader appelée Aquilon, l’avion chauve-souris controversé.

Nous voilà en bas des escaliers d’honneur et nous avons devant nous la première voiture au  monde qui est installé dans las salle des échos. Nous développerons le fait qu’elle circule à 4km et bénéficie d’une autonomie proche de 20 minutes pouvant déplacer une charge de 6 000 kilos. Elle est équipée d’une manivelle qui permet d’avancer ou de reculer. Ce véhicule à vapeur, appelé Le Fardier de Joseph Cugnot, datant du 1770 va marquer un tournant essentiel au XVIIIème siècle qui annonce un véritable changement dans l‘Histoire des transports et de l’humanité.

Nous ferons l’expérience dans cette même salle des échos avec un test de voix. Deux personnes, c’est-à-dire moi-même et un autre volontaire du groupe, ce sont placées dans les angles diagonalement opposés de la pièce ouverte et, en parlant nous étions capables de nous entendre alors que 15 mètres de distance nous séparent. Belle acoustique !

En guise de conclusion, nous terminons cette belle visite vraiment riche et informative, par une démonstration du Pendule de Foucault dont je n’ai toujours pas compris le principe tant la physique m’échappe complètement, est installé dans l’église de Saint-Martin des-Champs.

Je reste impressionnée par le nombre d’inventions présentes au Musée des Arts et Métiers et aime particulièrement l’Histoire des objets et de leurs inventeurs peut importe les domaines, je pense que c’est un lieu qui porte bien son nom. Il nous fait voyager dans le temps et reste toujours d’actualité tant les inventions font parties intégrantes de notre quotidien, je pense notamment à l’ancêtre de la voiture.

Pour la visite  « Les trésors du musée » rendez-vous à 14h45 dans les collections permanentes du Musée des Arts et Métiers.



Carte de visite n° 1 / « Musique et cinéma : le mariage du siècle »

Carte de visite n° 1 / « Musique et cinéma : le mariage du siècle » dans Exposition c1-image-expo-musique-et-cinema-cite-de-la-musique2-150x150Visite individuelle libre d’une durée de 2 heures le dimanche 05 mai 2013

 J’ai choisi de visiter l’exposition temporaire « Musique et Cinéma, le mariage du siècle » à titre individuel mais accompagnée de mon chien-guide Arsène. Je me suis équipée d’un audio-guide qui m’offrait deux options de lectures : le choix 1 pour les enfants, le choix 2 pour les personnes en situation de handicap mental.

J’ai testé le choix 2 qui m’invite à composer le numéro et à repérer dans l’espace où se situent les prochains éléments à découvrir, grâce à des indications détaillées, imagées qui me permettent de partir à la recherche active des œuvres à retrouver.

Pour mieux appréhender l’organisation des espaces de cette exposition répartie sur deux niveaux, soit l’étage supérieur, soit l’étage inférieur, le personnel d’accueil et moi-même avons étudie le plan oralement afin de bien comprendre quels sont les points à ne pas manquer dans mes déplacements pendant le parcours de visite.

Je me plonge dans un thème d’exposition qui m’intrigue et me tarde d’impatiente d’expérimenter. Ces deux univers sont complémentaires mais je ne connais pas bien leur évolution commune. Côté Musique je suis bien plus à l’aise pour en parler que côté Cinéma. Je suis curieuse d’en apprendre davantage.

En avançant de vitrine en vidéo, d’installation sonore en table multimédia interactive, je me retrouve directement immergée au cœur du sujet grâce à une large palette d’offre culturelle qui sont à ma portée même si bien entendu, je ne parviens pas à visualiser les présentations de costumes ou décors ou tout autres objets fondamentaux placés sous vitrines.

Une salle de mixage est mise à la disposition du public pour essayer de se mettre à la place des professionnels du métier. Comment les voix, les musiques d’ambiances et les images se superposent-elles ? C’est en le faisant que l’on peut mieux réaliser le travail conséquent qu’il y a derrière chaque séquence d’un film.

Pour compléter chaque commentaire audio-écrits il y a des casques diffusant de la musique correspondant aux vitrines. Vraiment de bonne qualité et surtout nécessaire à la compréhension du texte pour s’imprégner au maximum de l’exposition dans son ensemble.

Sans oublier des espaces prévus pour s’asseoir face à un grand écran diffusant des génériques accompagnés des bandes originales de films célèbres. Ou bien encore des passages extraits de films cultes.

Je soulignerai sans retenue que l’équipe présente en salle ou à l’extérieur m’a vraiment facilité la visite grâce à leur disponibilité et leur bienveillance. Je suis enchantée d’avoir pu faire cette exposition temporaire à titre individuel et c’est avec grand plaisir que je souhaite la revisiter sur rendez-vous pour une visite accompagnée.

Exposition temporaire « Musique & Cinéma : le mariage du siècle » du 19 mars au 18 aout 2013 présentée à La Cite de la Musique



Carte de visite n° 2 / « Au fond a droite : l’expo portes ouvertes sur les toilettes »

Carte de visite n° 2 / « Au fond a droite : l’expo portes ouvertes sur les toilettes » dans Exposition c2-image3-toilette-prefere-expo-au-fonda-droite-150x150Visite individuelle libre d’une durée de 2h30 le mardi 07 mai 2013

Pour la première fois cette année, j’ai choisi de me rendre à La Foire de Paris, non pas pour aller dénicher la dernière création ou invention en tout genre, mais plutôt pour aller voir ce qu’il se cache derrière « Au fond a droite : l’expo portes ouvertes sur les toilettes »

J’ai vu et entendu des reportages dans les médias et après avoir consulté le site internet officiel de l’évènement, j’ai décidé de me rendre sur place et de me concentrer uniquement sur la visite de cette exposition inédite qui m’intrigue juste par son nom !

Me voilà sur place, par où commencer ? J’ai observé un instant le silence pour tenter de repérer si j’entendais des voix autour de moi afin de m’informer auprès du personnel présent sur les lieux. A ma grande déception, le public visite librement sans guide.

Toutefois, je me suis renseigné auprès d’un exposant sur les modalités de la visite de l’exposition et pour mon plus grand plaisir, il a accepté généreusement de m’accompagner dans la présentation des 26 toilettes du monde entier.

Je suis extrêmement chanceuse d’avoir rencontré Monsieur Mickaël, une personne patiente qui a mis son professionnalisme au service du client. Il a su transmettre ses connaissances et son savoir-faire, ce qui a captivés mon attention tout au long de notre échange passionnant.

De cabine en cabine, nous avons lu les cartels, décrit les pièces et commentés la disposition des éléments ce qui m’a permis de me représenter l’espace mentalement même si je ne pouvais pas toucher les objets.

Evoquer les couleurs donne le ton de la décoration de la pièce, nommer les formes des toilettes permet de visualiser ses dimensions, sans oublier de préciser la composition des matériaux pour mieux comprendre les particularités et les ressemblances des uns et des autres.

Le toilette qui m’a marqué au cours de cette visite est celui qui s’appelle « ww », vraiment astucieux. Il s’agit d’un projet innovant qui combine le lavabo et le toilette de telle sorte à récupérer l’eau usée du lavabo dans un réservoir commun permettant de recycler l’eau qui servira à tirer la chasse d’eau.

Je ne soupçonnais pas un instant que le design’ et les innovations des toilettes puissent autant être importants à prendre en considération. Avoir un panel de 26 toilettes permet d’en apprécier certains plus que d’autres tout en pouvant faire un choix objectifs car l’offre proposée est fournie.

Je suis ravie d’avoir pu partager cette exposition originale avec un professionnel du métier qui a contribué sans aucun doute à rendre le propos attrayant.

Exposition temporaire « Au fond à droite : l’expo portes ouvertes sur les toilettes » du 30 avril au 12 mai 2013 présentée à La Foire de Paris 



Carte de visite n° 3 / « Ron Mueck »

Carte de visite n° 3 / « Ron Mueck » dans Exposition c3-image-ron-mueck-150x150Visite individuelle libre d’une durée de 2 heures le mardi 14 mai 2013

Pour préparer ma visite de l’exposition Ron Mueck qui fait déjà beaucoup parler d’elle dans les médias, j’ai consulté rapidement le site internet de La Fondation Cartier pour l’Art Contemporain afin de me remémorer le propos, juste avant de me déplacer dans cette institution culturelle de renom, que je vais visiter pour la première fois aujourd’hui.

Passée la porte de La Fondation Cartier, une hôtesse m’a remis le guide gratuit de l’exposition Ron Mueck et tout en me donnant ce document, elle m’a précisée qu’il n’y a pas de visite guidée, sauf pour les réservations de groupe. En revanche, il y a une équipe de médiateurs culturels sur place, présente dans les différentes salles,  prête à répondre aux questions du public.

J’ai d’abord été rejoint à l’accueil par une médiatrice qui m’a rapidement expliqué l’organisation des espaces des salles d’exposition réparties sur deux niveaux. Le niveau supérieur correspondant au rez-de-chaussée bénéficie de la lumière naturelle grâce aux grandes vitres donnant vue, pour l’un des côtés sur le boulevard passant tandis que les autres côtés donnent vue sur le jardin tranquille entourant le bâtiment. Le niveau inférieur correspond au sous-sol bénéficiant de la lumière artificielle puisque les murs ne permettent pas de laisser entrer la lumière. Donc ce sont deux ambiances lumineuses bien distinctes qui vont agrémenter la découverte de La Fondation Cartier surprenant et agréable à explorer.

C’est important pour moi de pouvoir resituer les œuvres dans l’espace, même si je ne connais pas encore ce lieu, cela me laisse la liberté de me concentrer sur le contenu de la visite d’autant plus qu’elles ne sont pas nombreuses. Ce qui facilite la mémorisation de leur nom. Cette exposition dévoile six œuvres récentes et trois sculptures réalisées spécialement pour l’évènement.

La première médiatrice m’a conduit naturellement auprès de sa collègue pour prendre le relais dans la description d’une œuvre se trouvant sur son secteur. Nous l’avons commenté ensemble, puis décrit dans les moindres détails tant sur la taille, le volume, la matière, la signification des positions ou des traits des personnages, puis lu la présentation se trouvant sur le guide.

Et c’est ainsi que c’est déroulée mon parcours de visite, entourée d’une équipe dynamique de médiateurs culturels, prenant tour à tour spontanément le relais pour m’accompagner dans l’approche des œuvres et du travail de l’artiste.

Par exemple me commenter les technique de création et de production qui apparaissent dans la vidéo quasi sans dialogue. Ou encore de décrire les œuvres dans les moindres détails jusqu’à imiter les positions des personnages pour mieux pouvoir les imaginer. Ou encore me soufflant une réflexion qu’un visiteur peut se faire en ayant une vue d’ensemble de la salle d’exposition car les œuvres ont été soigneusement disposées et mise en scène.

Je suis plus que ravie d’avoir été découvrir cette exposition remarquable accueillie dans un lieu chaleureux à la fois agréable à découvrir de l’intérieur mais aussi apaisant de l’apprécier de l’extérieur grâce à son environnement verdoyant.

Je remercie l’équipe de médiateur culturel d’avoir fait de cette visite à La Fondation Cartier pour l’Art Contemporain, un pur moment d’échange convivial pertinent.

Exposition temporaire « Ron Mueck » du 16 avril au 27 octobre 2013 présentée à La Fondation Cartier pour l’Art Contemporain

 



Carte de visite n° 4 / « Paris des philosophes »

Carte de visite n° 4 / « Paris des philosophes » dans Exposition c4-image-musee-carnavalet-150x150Visite-conférence d’une durée d’1h45, présentée par Nathalie, le samedi 18 mai 2013, ouverte au public adulte

J’y suis allée à deux reprises il y a fort longtemps. La première fois, c’était en 2008 pour visiter entre amis l’exposition temporaire « Les Parisiennes de Kyraz ». La deuxième fois, c’était en 2009 dans le cadre d’un séminaire, dans le but d’aborder la question de mise en accessibilité du lieu.

Pour la troisième fois, j’ai choisi d’y revenir à titre individuel afin d’assister à une visite guidée sur le thème « Paris des philosophes ».

L’intitulée de la visite au programme de ce jour suscite mon intérêt et attire ma curiosité car le lieu et son emplacement me laisse penser que ce sont d’excellentes raisons pour revenir au musée aujourd’hui.

Me voici à l’accueil en compagnie de la guide-conférencière Nathalie. Nous attendons quelques minutes l’arrivée d’éventuels visiteurs supplémentaires. Finalement, il n’y aura pas d’autres personnes qui se joindrons à nous, je serai seule avec elle et Arsène pendant la présentation, me voilà une fois de plus un public privilégié.

Bien entendu, la visite prend la forme d’un échange puisque nous somme sen nombre restreint, même si bien évidemment j’écoute bien plus que je ne parle, il est plus évident pour moi de poser certaines questions puisque nous sommes peu nombreux.

Au-delà du contenu de la visite étoffé, qui permet de bien approcher la thématique du jour, grâce aux différentes salles que l’on rencontre lors de nos déplacements qui illustrent le propos par, le mobilier, des objets d’art et d’histoire, les tableaux représentant des scènes ou les personnages marquants, j’ai pu interpréter tout ces éléments grâce à une description appropriée qui m’a permis de voir ce que je ne pouvais visualiser.

Tout au long de ce parcours, ce sont plus d’une centaine d’horloges réparties ici et là qui rythmaient la visite.

Nous avons entre autres parlé parmi les nombreuses œuvres remarquables des collections du musée Carnavalet, abordés le travail de l’artiste Hubert Robert, auquel je suis particulièrement attachée.

J’ai passé un très bon moment riche et constructif avec la guide-conférencière, qui a su me transmettre son savoir en toute simplicité. Le contexte à donné une proximité à cette visite unique qui me convaincs de revenir approfondir mes connaissances sur ce riche musée situé dans un cadre magnifique.

Pour la visite « Paris des philosophes », rendez-vous à 11h dans les collections permanentes du musée Carnavalet – Histoire De Paris



Carte de visite n° 5 / « Rendez-vous aux jardins 2013

Carte de visite n° 5 / « Rendez-vous aux jardins 2013 dans Exposition musee-albert-kahn-boulogne-150x150Visite-guidée  pour individuel d’une durée de 2h30 présentée par Isabelle le samedi 1er juin 2013

J’ai eu connaissance de ce lieu situé à Boulogne grâce à une amie photographe qui l’avait visité et me l’avait conseillée. J’y suis  allée une première fois en 2010 pour découvrir principalement les jardins. Je m’étais alors faite la réflexion que j’y reviendrai lors d’une visite-guidée afin d’en savoir plus. C’est en consultant le programme des « Rendez-vous aux jardins 2013 » que j’ai lu que le Musée-Jardin Albert Khan [IO1] s’associe à l’évènement, voici une excellent occasion pour y retourner.

Je me suis présentée à l’accueil du musée, avec mon chien-guide Arsène, juste à temps pour le départ de la visite et, pour ne pas manquer l’introduction, j’ai demandé  à un visiteur venu seul lui aussi, s’il acceptait de m’accompagner jusqu’au point de rendez-vous dans le jardin, afin de rejoindre le groupe déjà sur place, attentif aux paroles de la guide-conférencière qui avait commencé son exposé.

 Au fil des paroles captivantes de la guide Isabelle que nous écoutions attentivement, il ne m’a pas fallu longtemps pour comprendre que le discours allait être aussi passionnant que son créateur. Un banquier et mécène français né en Alsace en 1860 et mort en 1940 à Boulogne Billancourt, qui a financé et permis de constituer, l’un des plus important fond photographique couleur du début du XXème siècle, intitulé Les Archives de la Planète, conservé au Musée départemental Albert-Kahn.

Alors pour mieux réaliser que cet endroit est un petit coin de paradis contrasté ouvert sur le monde qui gagne à être connu, voici que nous traversons des ambiances naturelles  parfaitement maîtrisées, permettant de basculer d’un pas à l’autre, dans un mélange de paysages aussitôt géométriques aussitôt sauvages.

La description de l’activité culturelle annonçait une présentation du lieu et de quelques plantes remarquables du site. Tout au long du parcours, nous explorons un panorama de paysages à la française, à l’anglaise et japonisants étalé sur 3,9 hectares qui stimule l’imaginaire et invite au voyage.

Lors de nos déplacements sur les chemins de terre ou de pierre,  parfois étroits ou pentus, parfois ombragés ou dégagés, nous avons enjambés prudemment un cour d’eau dans lequel Arsène s’en est donné à cœur joie pour rejoindre l’autre rive…

Dans ce  jardin extraordinaire règne, une  atmosphère apaisantes qui offre, un cadre de nature urbain absolument spectaculaire à connaître. Toutefois, malgré le chant agréable des oiseaux dans cet environnement féérique accessible par le métro, je regrette d’entendre un léger bruit de fond de voiture qui me rappelle cependant que l’on est bien dans la nature au cœur de la ville.

Je remercie vivement Isabelle de nous avoir fait partager son goût et son intérêt pour la vie et l’œuvre de ce philanthrope visionnaire  que l’on retrouve en partie dans le jardin du musée-jardin Albert-Kahn. Sans oublier bien entendu la personne m’accompagnant parfois  sportivement pendant la visite sensationnelle intervenue dans le cadre des « Rendez-vous aux jardins 2013 ».

Pour la visite des « Rendez-vous aux jardins 2013″ rendez-vous à 11h30 dans les collections permanentes du musée et jardin Albert-Kahn



Carte de visite n° 6 / « À la découverte du musée »

Carte de visite n° 6 / « À la découverte du musée » dans Exposition c6-image-musee-la-cite-de-la-musique-150x150Visite guidée pour individuels, sur réservation, d’une durée d’1h30 présentée par Mélanie le samedi 1er juin 2013

Je suis en mesure de me rappeler que j’ai visité quelques expositions temporaires passées de La Cité de la Musique, parmi lesquelles : 2012 « Bob Dylan, l’explosion rock 61-66 », 2011 « Brassens ou la liberté », 2008 « Gainsbourg 2008 », 2005 « John Lennon, unfinished music », ainsi que l’exposition temporaire en cours en 2013 « Musique et Cinéma, le mariage du siècle ».

Pour autant, si je devais me rappeler de la dernière fois où j’ai arpenté les salles des collections permanentes, je ne serais pas en mesure d’être aussi précise sur la période ou encore moins la fréquence. Même si j’en garde un vague mais très bon souvenir, j’ai souhaité m’inscrire à une visite-guidée pour individuels plutôt que d’utiliser l’audio-guide pour me rafraîchir la mémoire.

Pour cela, j’ai contacté Bénédicte, chargée des publics handicapés à La Cité de la Musique afin de consulter ensemble, le calendrier des visites-guidées « À la découverte du musée » des collections permanentes  et, nous avons confirmé mon inscription et réservé la date du samedi 1er juin.

Ceci dans le but de pouvoir comparer les salles avant et après  l’installation d’un nouveau dispositif, appelé « touchez la musique », qui sera intégré désormais à la scénographie. Inauguration le 26 juin prochain.

Initialement fixé à 14h30, c’est avec 40 minutes de retard que je suis arrivée embarrassée sur place…  L’équipe d’accueil à fait le nécessaire pour que je puisse rejoindre rapidement le groupe. Je me suis excusée auprès de Mélanie, la guide-conférencière et des visiteurs en expliquant que j’étais retenue à Boulogne.

Après une arrivée stressante car trop précipitée, l’heure est venue d’apprécier de prendre le temps d’entendre la douce voix et le récit captivants de Mélanie. Son discours aborde La Musique à partir de La Renaissance à Aujourd’hui et se compose à la fois, d’éléments sonores à écouter pour illustrer son propos, à la fois d’éléments tactiles à toucher qui circulent de main à main pour mieux comprendre la facture instrumentale.

Lors de nos déplacements au cours de la visite commentée, nous avons marqué un arrêt pendant quelques minutes et pris place sur des bancs confortables pour entendre un concert d’un musicien qui jouait de la Sanza. Un agréable moment qui donne vie aux instruments qui nous entourent tout en ayant la chance de pouvoir échanger avec lui.

Plus nous traversions les époques, plus nous montions les étages, en avançant de salles en salles plus grandes les unes que les autres qui accueillent les 1 000 œuvres présentées au public sur une collection totale de 4 000 oeuvres. Deux instruments m’ont particulièrement marqués : l’Octobasse par ses dimensions et la sonorité ainsi que le Ondioline, un instrument en voie de disparition si personne ne le fabrique, l’enseigne ou le joue.

Je remercie Mélanie pour cette visite attractive qui a sur rendre son propos vivant et surtout dynamique. Permettre de toucher et d’entendre pour soutenir son discours est une formule qui invite le visiteur à participer et même si nous étions un groupe d’individuels, cela a favorisé les échanges conviviaux.

Pour la visite « À la découverte du musée » rendez-vous à 14h30 dans les collections permanentes du musée de la Cité de la Musique



Carte de visite n° 8 / « Toucher et écouter l’architecture moderne »

Carte de visite n° 8 / « Toucher et écouter l’architecture moderne » dans Exposition image-musee-citedelarchietdupatrimoine-150x150Visite-guidée tactile et descriptive, pour individuels sur réservation, d’une durée de 2h présentée par Claire et Marie-Pierre le samedi 08 juin 2013

Situé à l’intérieur du Palais de Chaillot, c’est avec mon chien-guide Arsène et une amie, que je me suis rendue en métro, au musée de La Cité de l’Architecture et du Patrimoine, par lequel on peut accéder aisément depuis la Place du Trocadéro, pour assister à une visite-guidée tactile et descriptive « Toucher et écouter l’architecture moderne » présentée par Claire et Marie-Pierre.

Déjà venue à plusieurs reprises, assister à d’autres visites fondées sur le même principe qui m’avaient énormément plues, je reviens régulièrement ici, pour le plaisir de revisiter l’espace d’exposition des collections permanentes et, bien volontiers, participer à des présentations, tout simplement parce que j’ai apprécié l’activité et les individus.

C’est le cas notamment pour celle-ci que nous n’avions pas terminé la première fois car un évènement rare mais véridique s’était produit ; l’une des personnes du groupe ayant fait un malaise, la guide a dû interrompre, bien évidemment la visite pour s’occuper d’elle et, réagir rapidement avec sang-froid, afin de faire intervenir les secours. Une drôle d’expérience qui restera longtemps gravée dans ma mémoire.

Enfin sur place, c’est dans une ambiance chaleureuse cette fois encore  que, nous avons fait connaissance les uns avec les autres pour certains, voir retrouvé par hasard pour d’autres, en attendant que l’ensemble des personnes inscrites soient toutes arrivées pour démarrer la visite. Le groupe de visiteurs soit accompagnateur soit déficient visuel est au complet, nous nous déplaçons vers les ascenseurs pour rejoindre la galerie d’architecture moderne et contemporaine.

Nous commençons notre parcours par la section appelée « Concevoir et Bâtir » située à gauche de l’entrée principale de la galerie et nous terminerons la visite par la seconde section appelée « Architecture et Société » située à droite de l’entrée principale de la galerie.

Au cours de cette première partie, nous avons abordé l’aspect « concevoir » et plus concrètement nous nous sommes arrêtés devant une maquette placée sous vitrine, que nous n’avons malheureusement pas pu toucher. Il s’agit du Crystal Palace de Joseph Paxton créé en 1851 pour accueillir la première exposition universelle. Cet édifice préfigure l’architecture moderne et contemporaine.

Cependant, cela ne me semble pas nécessaire dans la mesure où l’essentiel de la notion à aborder réside dans la compréhension de l’innovation et de l’évolution de la technique en elle-même. Alors, pour mieux visualiser ce concept, voici que Claire a remis à chaque binôme une reconstitution du principe poteau + poutre à partir de « K’nex » ! Un peu d’imagination et le tour est joué…

Nous avons poursuivi avec l’aspect « Bâtir » en nous plaçant à côté d’un exemple représentatif du modèle de construction en béton armé + vitraux, construit par les architectes français Auguste et Gustave Perret en 1922-1923, il s’agit de l’Eglise Notre-Dame de la Consolation au Raincy surnommée « La Sainte-Chapelle du béton ». C’est le premier édifice religieux réalisé avec ce matériau jusque-là réservé aux bâtiments industriels. Cette fois-ci et pour mon plus grand plaisir, nous avons pu explorer du bout des doigts cette structure qui s’étire du sol au plafond.

Au cours de la deuxième partie, nous avons abordé les aspects « Architecture et Société » et tenté de comprendre comment s’organise la construction de La Cité Radieuse par Le Corbusier qui a été inaugurée à Marseille en 1952 et ceci en utilisant des « legos » pour visualiser concrètement l’articulation de cette unité d’habitation : aussi bien du point de vue extérieur de la vie au quotidien sur ce site, aussi bien du point de vue intérieur des pièces à vivre de l’appartement.

Pour clôturer cette dynamique présentation qui rend le thème vivant,  une immersion au cœur d’un appartement organisé en duplex, qui est une restitution à l’échelle 1, rajoute pour ma part, beaucoup d’étonnement, de curiosité et de satisfaction dans la découverte de cet création architecturale extrêmement bien pensée même si controversée à l’époque.

Je suis plus qu’enchantée d’avoir pu suivre cette visite  jusqu’à son terme et souhaite souligner que, ces échanges entre l’équipe de La Cité de l’Architecture et du Patrimoine avec les visiteurs sont pour moi, un exemple tant sur la qualité d’accueil, tant sur le contenu culturel. Sans oublier les moyens de communication mis en œuvre pour ouvrir l’accès à l’architecture et au patrimoine à un large public.

Pour la visite « Toucher et écouter l’architecture moderne » rendez-vous à 11h15 dans les collections permanentes du musée de la Cité de l’architecture & du patrimoine