Posté le Mercredi 11 décembre 2013
Visite pour individuel, accompagnée par un médiateur scientifique, d’une durée de 2h présentée par Maximilien le vendredi 22 novembre 2013
J’ai assisté à différents évènements programmés dans les deux cas, au Musée des arts et métiers à Paris, le mois dernier dans le cadre de la Fête de la science du 9 au 13 octobre ayant pour thème scientifique en 2013 : de l’infiniment grand à l’infiniment petit. Notamment, à une journée d’étude « Sciences en images » et, à une visite flash grand public portant sur l’ABC de la vapeur.
C’est à cette occasion que j’ai noté qu’il serait intéressant de revenir assister à une visite-guidée pour en apprendre d’avantage sur ce lieu imposant qui porte le même nom que la station de métro à laquelle je suis descendue pour accéder à l’entrée principale du Centre National des Arts et Métiers.
Aussi, j’ai consulté le site internet de l’établissement agréable à explorer, qui présente une généreuse programmation de visites, ce qui me laisse une grande liberté dans la gestion de mon planning de visites tant les possibilités sont multiples.
Pour mieux appréhender les espaces et les œuvres du Musée des arts et métiers, j’ai choisi de suivre la visite « Les trésors du musée » animée par un médiateur scientifique qui est une présentation générale des différents domaines de la science et des techniques répartis sur deux niveaux, disposées par domaine dans l’ordre chronologique, avant de suivre de nouvelles visites plus spécifiques.
Me voici sur place en compagnie de mon chien-guide Arsène. Avant toute chose, j’ai retiré mon billet et attendu quelques minutes dans le hall avant que le guide demande au petit groupe constitué d’individuel de se diriger vers les ascenseurs dans lequel il faisait froid comparativement au reste des espaces du musée.
L’introduction de la visite se déroule à mi-chemin entre l’entrée de la salle des instruments scientifiques et la sortie de l’ascenseur. Cet espace est légèrement bruyant car en même temps que l’on distinguait clairement la voix de notre guide, on pouvait entendre une bande sonore diffuser le son d’extraits parlés sur une installation vidéo.
Hormis ce petit détail qui ne durera à peine que quelques minutes, nous abordons la création du CNAM et noterons qu’avant d’être un musée, c’était un ancien édifice religieux appelé prieuré d’où le fait qu’il ait une église au sein de l’édifice ouvert au public en 1794 et fermé pour travaux pendant quelques temps, dans les années 1990.
Au fur et à mesure que nous nous déplacerons de salles en salles, nous balayerons les 7 domaines qui composent les espaces de ce musée. Tout en s’arrêtant devant certaines vitrines avec les objets que le guide va commenter. Il s’étendra sur les explications et leurs importances dans l’Histoire des techniques et de la science et leurs inventeurs souvent de géni.
Je ne vous parlerai pas de l’ensemble des thèmes présents au Musée des arts et Métiers mais plutôt de ceux qui ont attiré mon attention. Bien que nous les évoquerons tous mais il est impossible en 1h30, durée initiale de la visite, de pouvoir s’attarder sur chaque domaine même si nous avons traversé : les instruments scientifiques, les matériaux, la construction, l’énergie, la communication, les transports, la mécanique.
Nous voici à présent dans la salle des instruments scientifiques et détaillerons entre autre, les origines de l’invention de la calculatrice par Blaise Pascale ou encore sur l’importance de la création du laboratoire de Lavoisier, avec une démonstration à l’appui qui rend le propos vivant et encore plus pertinent. Les manipulations ce feront toujours avec le port des précieux gants cars les éléments sont d’époque.
J’avais en tête de venir à la visite axée sur le domaine de la construction car j’ai une certaine fascination pour les ponts. Et c’est en passant rapidement dans cette partie, que nous avons abordé La Statue de la Liberté du sculpteur français Auguste Bartholdi. Et aussi le théâtre des Champs-Elysées des frères Perret, etc.….
Puis nous arrivons au domaine de l’Energie et nous parlons de l’invention de la pile électrique par le physicien italien Alessandro Giuseppe Antonio Anastasio Volta et irons jusqu’à la salle du domaine des Transport. Encore un arrêt pour parler de l’invention de l’ingénieur français Clément Ader appelée Aquilon, l’avion chauve-souris controversé.
Nous voilà en bas des escaliers d’honneur et nous avons devant nous la première voiture au monde qui est installé dans las salle des échos. Nous développerons le fait qu’elle circule à 4km et bénéficie d’une autonomie proche de 20 minutes pouvant déplacer une charge de 6 000 kilos. Elle est équipée d’une manivelle qui permet d’avancer ou de reculer. Ce véhicule à vapeur, appelé Le Fardier de Joseph Cugnot, datant du 1770 va marquer un tournant essentiel au XVIIIème siècle qui annonce un véritable changement dans l‘Histoire des transports et de l’humanité.
Nous ferons l’expérience dans cette même salle des échos avec un test de voix. Deux personnes, c’est-à-dire moi-même et un autre volontaire du groupe, ce sont placées dans les angles diagonalement opposés de la pièce ouverte et, en parlant nous étions capables de nous entendre alors que 15 mètres de distance nous séparent. Belle acoustique !
En guise de conclusion, nous terminons cette belle visite vraiment riche et informative, par une démonstration du Pendule de Foucault dont je n’ai toujours pas compris le principe tant la physique m’échappe complètement, est installé dans l’église de Saint-Martin des-Champs.
Je reste impressionnée par le nombre d’inventions présentes au Musée des Arts et Métiers et aime particulièrement l’Histoire des objets et de leurs inventeurs peut importe les domaines, je pense que c’est un lieu qui porte bien son nom. Il nous fait voyager dans le temps et reste toujours d’actualité tant les inventions font parties intégrantes de notre quotidien, je pense notamment à l’ancêtre de la voiture.
Pour la visite « Les trésors du musée » rendez-vous à 14h45 dans les collections permanentes du Musée des Arts et Métiers.
Posté le Mardi 3 décembre 2013
Visite libre individuelle en compagnie de mon chien-guide Arsène le lundi 22 juillet 2013
Ce sont mes recherches d’emploi qui m’ont poussées à partir à la découverte de la ville de Poissy, qui se situe à trente kilomètres environ à l’ouest de Paris, dont les habitants sont appelés les Pisciacais.
J’ai déjà envoyé ma candidature et pour être dans de bonnes dispositions le jour-j, seulement si l’occasion se présente, car j’aurai anticipé l’itinéraire, et dans l’éventualité de recevoir une convocation pour un entretien, j’ai eu envie de me rendre sur place et d’aller explorer un territoire complètement inconnu jusqu’à ce jour, pour mettre toutes les chances de mon côté tout en lui donnant, dès à présent, un sens concret réalisable à ma portée.
Peu importe le dénouement de cette nouvelle tentative, pourtant très intéressée de ma part, qui ne donnera probablement pas d’issue favorable, de profiter de l’occasion pour m’enrichir et d’apprendre se que cache la ville de Poissy, au-delà du musée que je serai peut-être amené à côtoyer prochainement.
Dans un premier temps, l’idée est de repérer le trajet au départ de Paris jusqu’à Poissy, puis dans un deuxième temps, de prendre la température de la ville. Dans les deux cas, aller à la rencontre des habitants, des commerçants tout en visitant le patrimoine local, est à mon sens, une manière comme une autre de joindre l’utile à l’agréable.
Il est aussi très important pour moi, de comprendre l’organisation de la ville afin d’estimer le temps de marche à pied à prévoir entre l’établissement culturel et la gare. Observer la circulation des voitures et profiter au maximum de trouver les points forts ou les points faibles qui me feront me sentir à l’aise ou mal à l’aise dans ce nouvel environnement que je vais appréhender aujourd’hui avec Arsène.
En sortant de la garer R.E.R j’ai demandé à plusieurs reprises mon chemin pour me rendre au Musée du jouet. J’ai eu beaucoup de chance de croiser des personnes vraiment agréables et disponibles pour m’accompagner quasiment tout au long de la route. Dans le même temps que nous marchions, nous avons pu échanger et décrire ce qui nous entoure.
J’ai demandé sans cesse le nom des rues afin d’en prendre note dans un coin de ma mémoire et me suis efforcée d’en retenir les principales. Je m’attache à me resituer dans l’espace en formulant par oral à chaque fois, la position de la gare par rapport à notre emplacement. Cela me permet de rester attentive et de travailler mon sens de l’orientation toujours en éveil.
Nous avons entre autres, longé l’église romane du XIIème siècle appelée La Collégiale Notre-Dame, considéré comme le principal patrimoine historique de la ville. Situé non loin de là, nous passons sous un porche pour accéder à la grille menant au musée du jouet, installé dans l’ancienne porterie du prieuré royal, qui expose des jeux et jouets de la période 1850 – 1950.
J’ai poursuivi mon chemin avec la même dame qui se rendait chez le médecin et qui me proposait de m’accompagner jusqu’à l’office de tourisme.
Nous avons marché le long d’un ancien couvent de religieuses ursulines datant du XVIIème siècle qui, sans le savoir, au préalable de quelconques démarches, s’avère être après rénovation, reconstruction et réaménagement, la maison centrale de Poissy.
La prison qui accueille des détenus condamnés pour de longues peines se trouve à deux pas du musée du jouet… J’ai pendant quelques minutes eu un petit moment de flottement et d’hésitation à poursuivre l’exploration. Finalement les rencontres sympathiques se faisant m’ont donné envie de poursuivre ma visite de la ville.
J’ai remercié la dame qui m’a donné de son temps et avancé seule jusqu’à l’Office de tourisme. J’ai pris quelques informations et renseignements sur les choses à voir ou à faire pendant cette journée et j’ai reçu des documents en caractère agrandis ainsi qu’un parcours pédestres en caractère ordinaire. D’après les conseils de l’agent en poste, nous avons soigneusement préparé et organisé les étapes à suivre pour optimiser la promenade.
Tout d’abord, un arrêt pause déjeuner en terrasse au «restaure-bar « le mouton blanc » avant d’aller profiter d’une marche au bord de l’étang à l’ombre dans le parc, qui présente notamment « Le Peinte Meissonier », une sculpture représentant le peintre Ernest Meissonier, qui se trouvait à l’origine près du musée du Louvre à Paris. Pour terminer la découverte de ce jour, je suis allée voir, en compagnie de Christian, un Pisciacais depuis l’âge de 11 ans, qui a vécu et travaillé toute sa carrière à Poissy, qui m’a raconté bon nombre d’anecdotes au cours de notre déplacement, admirer le « Vieux Pont » qui longe les berges de La Seine.
Ainsi s’achève cette belle journée axée sur l’échange et la découverte, il est temps pour moi et Arsène de repartir et de se diriger vers la gare. Située à deux pas du célèbre pont, un accès aux trains pour prendre soit le R.E.R soit un T.E.R qui me conduira directement jusqu’à Paris Saint-Lazare en 23 minutes seulement.
Je suis contente d’avoir fait l’effort de m’y rendre alors que rien ne m’y oblige si ce n’est la curiosité dans l’immédiat et l’intérêt dans l’absolu. Je suis en mesure à présent d’aller sur place pour un entretien éventuel, j’ai pris les précautions nécessaires pour ne pas arriver en retard.
Une nouvelle venue à Poissy pour prolonger la découverte de la ville s’impose.
Posté le Samedi 30 novembre 2013
Posté le Jeudi 28 novembre 2013
Posté le Dimanche 10 novembre 2013
Posté le Dimanche 10 novembre 2013
Téléchargez ci-dessous la revue de presse, disponible en format Word et jpeg, de la tournée culturelle 2008 dans les hôpitaux, intitulée « Les bons contes font les bons amis » présentée par l’Association Capteur de rêves en Bretagne et, animée par l’artiste québécois Ti Jean Caribou.
Revue de presse en format Word
Le rêve québécois de Julie Boulanger
La culture québécoise plaît à Saint-Joseph
Maison Saint-Joseph Une animation sur le Québec
Une Journée Québec au foyer Jeanne-d’Arc
Des contes québécois pour les résidents du foyer
Foyer Le Gall Journée québécoise avec Ti Jean Caribou
Animation à l’hôpital avec Ti Jean Caribou
Julie jette des pont entre Bretagne et Québec
Revue de presse en format jpeg